Kevin Rivaton: son investissement dans l’écotourisme

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Aujourd’hui, de plus en plus de gens se rendent compte qu’il est enfin temps d’agir pour l’environnement. Quant à Kevin Rivaton, cela faisait longtemps que je n’avais pas réalisé que c’était un énorme problème. Il va même plus loin en prônant l’écotourisme. Depuis les années 1970, le nombre de vacanciers a augmenté et tout récemment on entend parler de l’impact du tourisme incontrôlé sur la planète, mais pas seulement.

La façon dont les touristes utilisent affecte également l’économie locale et la préservation des coutumes du pays et de la région. Après avoir vécu ses dix premières années au Liban, en 2009, Kevin Rivatton a voyagé à vélo, accompagné d’un ami, entre son pays d’origine et Israël. Il est  revenu là-bas plus tard avec sa famille. En plus de pouvoir découvrir pleinement sa langue maternelle, il appréciait Tyr pour ses magnifiques plages de sable blanc. La randonnée au Mont Liban offre également des paysages incroyables. Découvrez également le Pérou, la Colombie, le Venezuela et l’Argentine. Par conséquent, il adore voyager.

Avec cela, Kevin Rivaton était hors de question de le conduire de toute façon. Le tourisme de masse ne fait pas partie de son terminologie. Pour lui, c’est collaborer à la dégradation de la planète, quand il est possible de trouver des paysages et des coutumes d’une autre manière.

C’est pourquoi il essaie toujours d’amener ses clients à choisir l’écotourisme pour organiser leurs voyages. De plus, ce ne sont pas des noms inconnus, car Kevin Rivaton a travaillé avec Havas Voyages, Euro Disney, Club Méditerranée, Pierre et Vacances et Club Med. En discutant avec chacun de ses clients, Kevin Rivton leur montre qu’il existe différentes façons de faire du tourisme tout en assumant une responsabilité environnementale. Vous n’êtes pas obligé d’être fan de cyclisme. Il suffit de se promener ou à cheval, par exemple. C’est aussi pouvoir découvrir des lieux avec un guide local, ou même acheter de l’artisanat local. Il faut aussi respecter la nature, sans jeter les déchets, bien sûr. Ces grands noms du tourisme le comprennent très bien.

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