Acupuncture : une technique ancestrale pour guérir les maux

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L’acupuncture, pratique ancestrale chinoise, fait de plus en plus d’adeptes dans les pays Occidentaux.

Les origines de cette pratique

Avec à la base une profonde connaissance de l’anatomie et de la structure du corps humain, de ses canaux énergétiques (appelés méridiens), les nombreux points d’acupuncture correspondant aux organes du corps et la théorie du Yin et du Yang. L’acupuncture puise sa source dans l’antique médecine traditionnelle chinoise.

Aujourd’hui encore, en Chine, la médecine traditionnelle et la médecine moderne se côtoient naturellement dans les hôpitaux et structures médicales.

Et en occident ?

En occident, ce n’est que vers la moitié du vingtième siècle que l’acupuncture a été officiellement acceptée comme pratique médicale thérapeutique, avec des bases scientifiques à tous les effets. Elle ne peut être pratiquée que par des experts médicaux professionnels. Les études et résultats obtenus dans ce domaine depuis cette date ont été nombreux. Si vous souhaitez en savoir plus sur l’univers de la santé et de la médecine, nous vous conseillons ce blog. Celui-ci est tenu par une infirmière passionnée qui prodigue ses bons conseils tous les jours.

Les mécanismes de l’acupuncture

Toute la vie de l’univers s’exerce en une succession incessante de stimulations et de réflexes. Au moindre toucher certaines plantes referment leurs feuilles; des fleurs ouvrent leurs pétales sous la stimulation de la lumière du jour pour se refermer au crépuscule… L’organisme humain ne peut se soustraire à cette loi de la nature en général.

En effet, les réflexes, qui se produisent en continu dans le corps humain, représentent toute sa vitalité et sont la réponse à autant de stimulations. On distingue trois catégories de stimulations : les stimulations physiologiques, pathologiques et curatives.

Différentes stimulations exercées à travers des processus physiologiques naturels de notre organisme peuvent produire des réponses tout à fait involontaires sans besoin d’approbation de notre part.

Au travers de ces réponses, comme par ex. avec les variations des activités cardiaques, s’exercent nos fonctions vitales. Il s’agit là de stimulations physiologiques. Les stimulations pathologiques sont étudiées pour établir et confirmer des diagnostics. Certaines maladies, par exemple, peuvent être diagnostiquées par l’examen d’un fond de l’œil. Ainsi, une tumeur cérébrale peut transmettre à l’œil des réflexes spécifiques. A ce propos, pour plus d’information sur la santé, n’hésitez pas à vous rendre sur ce portail dédié à la santé. Il fourmille de ressources.

Il existe aussi d’autres stimulations que nous pouvons nous même provoquer depuis l’extérieur. Celles-ci consistent en une excitation de points névralgiques particuliers, à des fins curatives, pour restaurer l’équilibre qui a été remis en cause par la maladie. Il s’agit là des stimulations et de leurs réflexes curatifs.

C’est justement sur l’efficacité de ces stimulations que l’acupuncture se positionne.

La technique de l’acupuncture

Une fois la maladie diagnostiquée, la méthode consiste à introduire des aiguilles en des points bien précis liés à l’organe malade. Ceci tout en étant à l’écoute du patient lors de l’auscultation et en contrôlant son état par un examen soigné notamment de la langue et du pouls. Il faut savoir que les points en question peuvent se situer à des endroits très éloignés de la zone malade ou douloureuse.

Les aiguilles peuvent être de différents calibres. Elles peuvent être chaudes ou froides et restent piquées en surface pendant environ 10 à 15 minutes. La pratique de l’acupuncture n’est généralement pas douloureuse. Les aiguilles bien que piquées sur la couche superficielle de la peau agissent très en profondeur. Elles peuvent créer un état général de relaxation avec des résultats notoires en quelques séances seulement.

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